MANUEL PRATIQUE DE MAGIE VERTE
LA VOIE DE LA TERRE
VINCENT LAUVERGNE
Edition : AMBRE – 255 pages
Quatrième de couverture :
« Les vertus médicinales et spirituelles des plantes ont toujours fasciné les hommes. Depuis l’aube de l’humanité, c’est dans la nature que l’on trouve la plupart des remèdes. Tout les grands noms de la mythologie et de l’alchimie ont utilisé les « simples ».
Et au-delà de l’aspect thérapeutique de la plante, c’est à l’être vivant que le chaman s’adresse lorsqu’il sollicitait une aide de la part de ces précieux alliés et c’est aussi à l’être vivant que l’alchimiste tendait à purifier pour préparer ses alkaests et élixirs.
Des rites très précis ont toujours accompagné la récolte, puis la préparation des remèdes à base de plantes.
Aujourd’hui, où le rationalisme prospère, redécouvrez les rites et les méthodes des anciens qui possédaient tous les secrets de la magie verte, ce que l’on nomme encore phytothérapie traditionnelle.
Apprenez à :
- préparez vos remèdes à base de plantes.
- protégez votre entourage ou vous facilitez la vie.
- réaliser vos propres rituels.
- élaborez vos élixirs.
Cet ouvrage donne les utilisations médicinales et magiques de plus de cent plantes ; les correspondances analogiques pour la médecine hermétique et des recettes ou conseils d’utilisation. »
Introduction de l’auteur :
« Dans l’introduction à son ouvrage paru en 1940, « La géomancie magique », Robert Ambelain écrivait « Nul n’innove en occultisme ».
En effet, si un auteur vous promet de trouver dans ses ouvrages les plus rares secrets occultes dont personne n’a entendu parler, rejetez bien vite son livre car vous n’y trouverez qu’une œuvre d’imagination qui n’aura rien en commun avec la tradition ésotérique.
Ainsi est la tradition occulte.
Elle est unique, universelle, ancestrale. D’un ouvrage à l’autre sur la tradition, regard passé au filtre de la masse documentaire qu’il a pu étudier, et des résultats de ses centaines d’expérimentations. A part ça, comme écrit l’Ecclésiaste « Rien de nouveau sous le Soleil ». Alors pourquoi écrire un ouvrage qui n’apportera aucune information nouvelle à ses lecteurs ?
Comme je l’ai dit plus haut, si l’information est ancienne, son regard est nouveau.
Combien parmi nous ont eu le temps et les moyens de passer des heures durant à essayer de comprendre des manuscrits anciens ?
Combien ont eu la patience de séparer le bon grain de l’ivraie, en triant les informations susceptibles d’être appliquables directement, généralement noyées dans un flot de discours obscurs ou d’avertissements inutiles ?
Et une fois le labeur accomplit, combien encore ont eu le désir de partager les fruits de leurs recherches ?
C’est pour répondre à ces interrogations, que cet ouvrage a été écrit. Je suis parti des plus anciennes sources de l’antiquité pour revenir progressivement vers notre époque, en étudiant, compilant, traduisant, les connaissances anciennes sur la magie des plantes, et en les adaptant à notre époque, tout en restant, je le souhaite, le plus fidèle possible à la pensée des initiés qui se sont transmis la tradition occulte depuis des milliers d’années… »
Sommaire :
Introduction
Chapitre I : Les rythmes de la Lune
Chapitre II : Les analogies ou "signatures" planétaires
Chapitre III : Les outils de la pratique
Chapitre IV : De la préparation de l'opérateur
Chapitre V : Rites propres à la récolte des simples
Chapitre VI : Conservation des plantes après la récolte, préparation de base et laboratoire magique
Chapitre VII : Répertoire de plantes
Chapitre VIII : Plantes magiques et plantes toxiques
Chapitre IX : Quelques recettes traditionnelles
Chapitre X : Initiation et spagirie végétale
Chapitre XI : Réaliser son jardin magique
Chapitre XII : Rituel de consécration du produit
Chapitre XIII : La réalisation du travail magique
Chapitre XIV : En guise de conclusion
Annexe I : Formules rituéliques de la magie pratique
Annexe II : Formules d’encens planétaires
Annexe III : Index thérapeutique
Annexe IV : Bibliographie
CRITIQUE DU LIVRE
Introduction :
Le nom de Vincent Lauvergne vous est inconnu ?
Il s’agit ici de son premier livre. Quoi encore un « novice » qui ne sait pas de quoi il parle ?
Et bien pas du tout ! En avant pour une petite biographie :
Vincent Lauvergne est : écrivain, conférencier, occultiste et alchimiste des plantes.
Il est depuis 13 ans le président de l’association G.I.R.E : Groupe Indépendant de Recherches Esotériques crée en 1995, afin d'enseigner et d'étudier les différents domaines du paranormal et des disciplines alternatives. Il anime également depuis quatre ans des stages, à travers toute la France, sur des domaines aussi variés que la phytothérapie, l’aromathérapie, la lithothérapie, l’antenne de Lecher mais aussi la magie traditionnelle.
Naviguant dans le monde de l’ésotérisme et des médecines douces, depuis plus de 15 ans, il a été initié à 20 ans au chamanisme celte, pour finalement trouver sa voie dans les arts occultes traditionnels occidentaux et les médecines douces.
Il est également l’auteur de deux sites Internet classés parmi les plus réputés du web, « Les portes de l'inconnu » et « Le grimoire des magies ».
Elève et collaborateur de Reynald Boschiero, le spécialiste français de la lithothérapie, ils préparent ensemble une gamme unique d’Elixirs minéraux et d’huiles minérales, selon des préceptes issus directement de l’alchimie. D’autre part, un ouvrage sous leurs deux signatures sur le thème des élixirs et huiles de minéraux, devrait sortir courant 2008.
Après la rédaction de deux ouvrages, le « Manuel pratique de Magie verte » sortit fin Mars 2007 aux éditions Ambre, et le « Dictionnaire des analogies ésotériques » à paraître chez le même éditeur, fin 2007. Il continue l’écriture d’autres ouvrages dont un sur l’astrologie antique qui devrait paraître en 2008 et un autre sur le bilan énergétique à paraître toujours chez le même éditeur.
Présentation du livre :
On constate, en parcourant cet ouvrage, que Mr Lauvergne est proche de la tradition hermétiste et a une culture ésotérique très vaste.
Dans mes plus beaux rêves, j’aimerais avoir sa bibliothèque…
Chapitre I : Les rythmes de la Lune
Vincent Lauvergne considère la Lune comme « l’horloge du praticien de la magie verte ». Il pousse notre étude à l’utilisation des énergies lunaires pour un maximum d’efficacité.
Ce chapitre est divisé en trois parties : rapport Lune/Zodiaque, cycle Lune/Soleil et le cycle « tropique ».
Cette première partie rappel le vocabulaire peu évident de l’astrologie. Cette lecture doit nous permettre de comprendre des phrases telles que celle-ci :
« Par exemple, si je désire ramasser du romarin, plante solaire, en vue d’extraire l’huile essentielle, je procéderais à sa cueillette en lune croissante et montante, à un moment où le soleil sera en sextil, trigone ou conjonction avec la lune . »
Alors là j’avoue, l’idée que je risquais de rien comprendre m’est clairement apparu !
Mais, l’auteur rappel qu’il est normal que cela nous paraisse compliqué.
Au début, rien ne nous empêche de ne prendre en compte simplement la croissance et décroissance de la Lune. Le reste viendrait avec l’expérience.
Je me suis dit que rien ne semblait perdu mais que j’avais du travail qui m’attendait !
Chapitre II : Les analogies ou « signatures » planétaires
Ce chapitre débute sur un rappel des deux « lois » à la base de la magie verte :
La loi des contraires.
La loi des semblables.
On constate que ces lois apparemment antagoniste, sont aussi efficaces l’une que l’autre.
C’est pourquoi l’auteur nous indique dans quels cas favoriser l’une ou l’autre « loi ».
Ensuite, le soleil et ses neufs planètes sont décrites de part leurs analogies avec diverses plantes, les parties du corps gouvernées, … Classique me direz-vous, certes.
Mais, outre les analogies trouvées un peu partout, on trouve des correspondances avec les Saveurs, Parfums, Fumigations, Encens et les Lieux consacrés.
L’auteur explique se rajout par le fait que la détermination des analogies n’a rien d’absolue.
Parfois, on doute de la planète maîtresse d’une plante et les livres proposant des correspondances peuvent se contredire.
Dans ce cas, grâce à ces informations complémentaires, il sera plus facile de retrouver l’analogie correct.
Et après seulement quelques minutes de lecture, constat : je viens déjà de trouver une réponse à mes anciennes questions : « Pourquoi les analogies ne sont pas toute identique d’un livre à l’autre ? Comment reconnaître le vrai du faux ? ».
Ensuite, loin d’être « imbu » de lui même, l’auteur nous fait partager un extrait tiré de l’ouvrage de Jean Mavéric « La médecine hermétique des plantes », « illustrant les mois propices de cueillettes en fonction des signes astrologiques qui y sont rattachés ».
Enfin, une liste résumant les parties du corps régies par les signes zodiacaux et amitiés/inimitiés entre les signes.
Petite déception pour cette dernière liste, question d’ego car je n’y lis pas mon signe…Vexée la demoiselle, tant pis si ça m’intéressait vraiment, je l’aurais sans doute déjà lu sur un site d’astrologie.
Donc passons, je poursuis mon chemin.
Par contre, absence de correspondance avec les couleurs de bougies, tables de correspondances, assez dommage.
A présent qu’on a compris que les plantes avaient une planète maîtresse, on admet que « Tout comme l’observation de la lune, il est impératif de ramasser les plantes aux jours et heures correspondant à leur planète ».
Dit ainsi, cela peut paraître laborieux.
Et bien étonnamment, avec le tableau récapitulatif et les exemples, on se surprend à trouver cela quasiment facile…Confirmé dès aussitôt à la lecture du résumé, c’est bon on a compris et tout cela semble très abordable.
Chapitre III : Les outils de la pratique
Tout d’abord, je dois vous avouer, que les chapitres « Outils » dans les livres ésotériques, je ne prend pas le temps de les lire.
Mais vu qu’ici je dois faire un compte-rendu, je « ronge mon frein » et m’y met.
Oh rien sur les bougies, calices, autel, et les grands classiques ?
Il est simplement proposé un rajout « aux objets usuels que l’ on trouve dans tout manuel classique d’occultisme ».
Voyons voir : Serpette, Besace,…, Matériel de laboratoire.
Hum ça sens le concret, le vécu, je me vois déjà monter ma colonne de distillation !
Je rajouterai un petit commentaire, m’étant moi même posée la question.
A propos de la besace achetée, Vincent Lauvergne précise qu’il faut effectuer un « exorcisme » avant la consécration.
Après recherche, il exprime par là plutôt une « exécration » , c’est à dire, débarrasser l'objet des scories de son ancienne vie, qui pourraient nuire à la pratique magique, avant de passer à la consécration de l’objet.
Chapitre IV : De la préparation de l’opérateur
Durant ces trois pages, les influences du chamanisme et des traditions druidiques se font ressentir. Je m’interroge tout d’abord sur le besoin d’une pratique « religieuse » en Magie Verte.
Sans être fosse, je reste septique !
Lorsque je lis « Il faut se rendre à l’évidence, à notre époque, il est souvent difficile de respecter des rites antiques. Le premier travail du mage consistera donc à s’adapter à son époque et à son environnement, … ».
Après quelques citations d’autres auteurs, la préparation de l’opérateur est résumé en un nettoyage physique et mental.
Personnellement ma croyance, foi, sera sacrément testée quand je vois au final, que l’opérateur doit être à jeun depuis au moins douze heures et ne doit dire mot, avant la récolte.
Chapitre V : Rites propres à la récolte des simples
L’auteur se permet de souligner que mieux vaut avoir repérer la plante à récolter, quelques jour avant, vu la préparation à effectuer. Effectivement, on y aurait pas tous pensés avant de s’être fais avoir une fois, c’est à dire revenir bredouille, moi la première ! Oui parfois je ne suis pas bien maligne.
En fait dans cette partie, une série de prières est présentée.
A chaque moment de la récolte, on se doit de montrer son respect et sa gratitude à la plante.
J’ai trouvé cette partie bien solennelle.
Mais comme le dit l’auteur à chacun d’adapter ses dires.
Chapitre VI : Conservation des plantes après la récolte, préparations de base et laboratoire magique
J’ai particulièrement apprécié cette partie. Les explications sont très concrètes et compréhensibles.
« Novice » en un rien de temps vous passerez « Expert » !
Comment sécher les plantes récoltées, effectuées des Infusions, Décoctions, Macérations, Cataplasme, Huiles essentielles, Onguent et j’en passe. Plus rien n’aura de secret pour vous.
L’auteur explique même grâce à une illustration claire de montage chimique, les préparations galéniques (pharmaceutiques).
A présent, je m’imagine déjà une pièce comportant des ampoules à décantées, colonnes de vigneux. Je me retrouve ravie de trouver toutes ces explications condensées, ne plus devoir entasser un tas de livres de chimie dès qu’une question me vient.
En touche finale, l’auteur a pensé (et mille merci) d’écrire les correspondances entre les mesures anciennes et modernes. Ainsi, chacun saura combien font une once, un scrupule ou encore un grain !
Chapitre VII : Répertoire de plantes.
Sur 110 pages on peut observer une liste de plantes couramment utilisée. On y voit leurs photos, noms usuel et latin, leurs habitats, leurs propriétés phytothérapeutiques et magiques,…De plus, quelques recettes par-ci, par-là sont proposées.
Petites critiques : Toutes les plantes n’ont pas de photos, et quelques photos ne sont pas adaptées à la plante décrite. Et les recettes sont peu nombreuses.
Cependant mis à part cela, après comparaison avec d’autres sources d’informations sur les plantes médicinales, j’ai pu constater une parfaite corrélation, avec les propriétés des plantes, décrites par Vincent Lauvergne.
Donc en plus de présenter l’aspect thérapeutique des plantes, ce chapitre condense les propriétés magiques de celle-ci.
Un fabuleux deux en un !
Par contre, si vous éprouvez le besoin d’avoir des recettes toutes faites de tisanes ou autre, vous devrez garder votre petit livre, des soins des plantes sous la main. En effet, il n'est pas précisé si telle plante s'utilise en infusion, en décoction, ni les temps d'infusion, de cuisson...
Chapitre VIII : Plantes magiques et plantes toxiques
Dans cette partie, on va pouvoir trouver bons nombres d’informations sur des plantes mises de côté dans les ouvrage de phytothérapie.
L’auteur s’explique par le fait que « je me fie au raisonnement éclairé du lecteur, cette partie de l’ouvrage…à titre purement informatif ».
On va y lire des conseils et utilisations magiques de l’Aconitum napellus au Papaver somniferum, en passant par la Datura Stramonium et la Mandragora officinarum.
Ainsi que des mises en garde sur la possibilité d’empoisonnement.
Chapitre IX : Quelques recettes traditionnelles
Comment fabriquer de l’axonge, du savon et du sirop de base ?
Ou encore, la préparation de vin aphrodisiaque et de la pommade anticellulalgique ?
Après apprentissage de ce passage, vive les économies que pourront nous permettre toutes les recettes diverses qu’on nous propose dans ce livre !
Je n’ai pas encore eu le temps de les essayer, mais cela semble très intéressant !
Chapitre X : Initiation et spagirie végétale.
Après quelques chapitres pratiques, l’auteur nous ramène vers le côté spiritualité de la Magie Verte.
La spagirie est « la petite sœur de l’alchimie ». Le but ici est de séparer : l’huile essentielle « souffre », l’alcool « mercure », et les sels minéraux « sel » de la plante. Puis de réunir ses trois parties pour former un élixir contenant les principes actifs de la plante sans sa toxicité !
L’auteur décrit ensuite le lien avec la spiritualité qu’effectue la spagirie sur la transformation de la plante « corps – âme - esprit ».
Enfin, une description et des astuces, dans la constitution à moindre prix d’un laboratoire spagirique concluent cette partie. Vincent Lauvergne est un auteur se rendant bien compte de l’époque où nous vivons, de nos moyens et nous met la Magie Verte à la portée de chacun !
Chapitre XI : Réaliser son jardin
Dans la continuité de la volonté de l’auteur, semble-t-il, à nous donner des explications très réalistes, cette partie décrit le jardin « idéal » à établir.
Que nous vivions en appartement ou en maison avec terrain, son discours est accessible et les conseils bienvenue.
Toute personne ayant commencé à s’intéresser aux facultés des plantes, c’est posé la question: « Quelles plantes dois-je commencer à faire pousser selon ses propriétés ? ».
On ne sait rarement les premiers temps par quoi commencer.
Aussi, dans ce chapitre, on nous propose une liste de plantes « qui nous apporteront le plus d’intérêts à faire pousser en priorité ».
Enfin, Mr Lauvergne nous relate une expérience très instructive sur l’emploi de la radiesthésie afin d’accélérer la croissance des plantes de son jardin. A essayer !
Chapitre XII : Rituel de consécration du produit.
Le rituel, mise en application de la volonté de l’opérateur, doit suivre un ordre précis.
Contrairement à bon nombre d’écrits, ici plutôt que de rester vague, l’auteur retransmet ses rituels avec précisions.
Tout le déroulement : l’ouverture, l’invocation à la divinité, l’appel de force, la demande, les remerciements, le renvoi des forces et la fermeture du rituel, y est décrit.
Bien sûr ensuite rien ne nous empêche de les remanier ou de les prendre tels quels.
Tout le monde à son avis sur la question, je pense que tout dépend de ses croyances et de sa pratique en générale.
Chapitre XIII : La réalisation du travail magique.
Afin de mieux faire passer ses précédentes explications, sous une forme romancée, nous est présenté, l’exécution d’un charme d’amour à base de verveine.
On se rend mieux compte après la lecture, de tout le temps et l’organisation nécessaire à un magiste, afin de préparer un charme.
D’où une réflexion sur un éventuel paiement pour ces fabrications, se pose réellement.
Chapitre XIV : En guise de conclusion et Annexes.
Après un discourt final sur la nature et ses biens faits, oh vive les Annexes !!
-« Formules rituéliques de la magie pratique » : On peut y trouver des exemples de rituels d’autres auteur, ainsi que des traductions d’écrits.
-« Formules d’encens planétaire » : Pour chaque formule d’encens planétaire, les formules données par Agrippa, Jean-Luc Caradeau, Jean Mavéric, JeanMarquès-Rivière et une de l’auteur, sont proposées ! A ce qui se sont, tout comme moi, demander un jour : « Mais qu’est-ce donc que l’encens de Vénus ? », cette partie vous procurera un grand sourire de satisfaction !
-L’« Index Thérapeutiques » définit le vocabulaire des symptômes présentées dans la partie « Répertoire des plantes ».
Un bémol ici, il eût été bienvenu d’avoir une liste de plantes correspondantes aux utilisations phytothérapique et magique.
-« Bibliographie ». Cette annexe démontre bien l’envie de l’auteur de nous pousser vers plus amples recherches. Il nous a donné différentes clés, à nous d’ouvrir ensuite les portes, vers un savoir plus approfondit.
Conclusion
La seule réflexion que je permettrais est la présence de nombreuses fautes d’accords et d’orthographes...
A « Cet ouvrage se veut avant tout un manuel pratique, loin des longs discours philosophiques, et des longues guerres d’opinions d’auteurs, j’espère que le lecteur trouvera ici un essai, facilement assimilable et pouvant être mis en pratique dans les meilleurs conditions. S’il trouve en ces pages un peu de ce qu’il est venu y chercher, alors mon travail en sera récompensé », je répond oui monsieur Lauvergne, en tout cas chez moi votre pari est réussi, merci.
Je conseil très fortement ce livre à toute bibliothèque qui se respecte !
Sources :
« Manuel pratique de Magie Verte, La Voie de la Terre » de Vincent Lauvergne aux éditions Ambre ( oui forcément !).
« Les Herbes médicinales » de B.Ticli aux éditions DE VECCHI
« Le dictionnaire de la magie » de M. Declos et J-L. Caradeau ayx éditions TrajectoirE
« Botanique : biologie et physiologie végétales » de S. Meyer, C. Reeb et R. Bosdeveix aux éditions Maloine.
http://www.paracelse-remedies.com/vincent.php
http://magie.alliance-magique.com/ftopic13254-0-asc-15.php
http://pagesperso-orange.fr/portes-inconnu/gire.htm
http://pagesperso-orange.fr/portes-inconnu/grimoire/accueil.html
http://le-grimoire-de-lyra.over-blog.com/article-12706182.html
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